Lancement du projet européen SIRIMA 23 octobre 2024 L'Institut participait récemment à Katowice (Pologne) à la réunion de lancement du projet européen SIRIMA, dont il est partenaire. L’objectif du projet est de développer la connaissance des effondrements localisés (fontis), pour mieux gérer cet aléa dans les zones de mines de charbon peu profondes et abandonnées. Le projet SIRIMA est un projet européen financé par le RFCS (Research Fund for Coal and Steel) pour une durée de 3 ans (2024 – 2027). Coordonné par l'institut polonais des mines (GIG), il porte sur les effondrements localisés, l’aléa le plus important de l’après-mine. SIRIMA regroupe neuf partenaires de quatre pays européens (France, Pologne, Allemagne et Espagne), dont l’Ineris. Dans le cadre du projet, de nouvelles méthodologies seront mises en œuvre pour étudier les conditions d'apparition de fontis dans les anciennes zones minières où la nappe phréatique a retrouvé son niveau naturel mais aussi pour réduire les risques. Le projet prévoit également le développement d'une base de données européenne qui permettra d'exploiter les capacités informatiques et technologiques actuelles pour mettre en place une nouvelle approche de ces risques. Les travaux intègreront aussi l'étude de l'impact des mouvements de terrain sur les structures. Le rôle de l’Ineris Au travers du projet SIRIMA l'Ineris répond à l'objectif n°3 de son Contrat d'objectifs et de performance : "Évaluer les risques et impacts résiduels liés à la post-exploitation des mines, incluant les énergies fossiles ; et les maîtriser, y compris en phase de reconversion". La contribution de l’Ineris concerne notamment la création de la base de données européenne des mouvements de terrain de type « fontis », liés aux mines de charbon peu profondes abandonnées en Europe. L’Ineris effectuera également des analyses avancées pour améliorer la prédiction de tels phénomènes. Il exploitera pour cela la base de données développée afin d'identifier les principaux facteurs d'apparition des fontis. En tant que membre de SIRIMA, l’Ineris participera également à la valorisation, à la communication et à la dissémination des résultats tout au long des trois années du projet.
Lancement du projet européen SIRIMA 23 octobre 2024 L'Institut participait récemment à Katowice (Pologne) à la réunion de lancement du projet européen SIRIMA, dont il est partenaire. L’objectif du projet est de développer la connaissance des effondrements localisés (fontis), pour mieux gérer cet aléa dans les zones de mines de charbon peu profondes et abandonnées. Le projet SIRIMA est un projet européen financé par le RFCS (Research Fund for Coal and Steel) pour une durée de 3 ans (2024 – 2027). Coordonné par l'institut polonais des mines (GIG), il porte sur les effondrements localisés, l’aléa le plus important de l’après-mine. SIRIMA regroupe neuf partenaires de quatre pays européens (France, Pologne, Allemagne et Espagne), dont l’Ineris. Dans le cadre du projet, de nouvelles méthodologies seront mises en œuvre pour étudier les conditions d'apparition de fontis dans les anciennes zones minières où la nappe phréatique a retrouvé son niveau naturel mais aussi pour réduire les risques. Le projet prévoit également le développement d'une base de données européenne qui permettra d'exploiter les capacités informatiques et technologiques actuelles pour mettre en place une nouvelle approche de ces risques. Les travaux intègreront aussi l'étude de l'impact des mouvements de terrain sur les structures. Le rôle de l’Ineris Au travers du projet SIRIMA l'Ineris répond à l'objectif n°3 de son Contrat d'objectifs et de performance : "Évaluer les risques et impacts résiduels liés à la post-exploitation des mines, incluant les énergies fossiles ; et les maîtriser, y compris en phase de reconversion". La contribution de l’Ineris concerne notamment la création de la base de données européenne des mouvements de terrain de type « fontis », liés aux mines de charbon peu profondes abandonnées en Europe. L’Ineris effectuera également des analyses avancées pour améliorer la prédiction de tels phénomènes. Il exploitera pour cela la base de données développée afin d'identifier les principaux facteurs d'apparition des fontis. En tant que membre de SIRIMA, l’Ineris participera également à la valorisation, à la communication et à la dissémination des résultats tout au long des trois années du projet.
Evaluation de l'unité PERITOX (Périnatalité et risques toxiques) : le Hcéres souligne l’excellence des recherches des équipes de l’Ineris et de l’UPJV 27 mars 2025